Nous vous avons déjà présenté le travail d’Alber à Bordeaux.
Depuis juillet 2011, nous croisons ces visages et nous le suivons.
Son travail a beaucoup évolué. Et il est devenu une des »stars » de la rue bordelaise.
Pour rappel, et en guise de présentation (pour ceux qui n’auraient pas suivi),
nous citons le dossier de presse de l’institut Magrez :
« Originaire du Nord de la France, c’est dans un atelier à Vendôme qu’il a commencé à
pratiquer le graffiti. À 17 ans, il fonde le crew KTM avec d’autres graffeurs. Alors appelé
SOER, il se lasse du caractère répétitif du lettrage qui ne lui permet pas vraiment de
se démarquer. Il change alors de blaze et reprend le prénom de son grand-père
décédé pour devenir Alber, nom que l’on peut voir régulièrement sur les murs de Bordeaux,
sous de grands visages au regard particulier.
Inspiré des expressions qu’il voit dans la rue, ses personnages sont faits d’aplats de
camaïeux tracés à la bombe sur un fond acrylique. Graphiste de métier, le graffiti est
pour lui une passion mais sûrement pas une pratique vandale, plutôt une manière
d’apporter de la couleur à la rue. Alber répond régulièrement à des invitations pour
des festivals ou événements artistiques. »
source : http://storage.dolist.net/2242/www/Livret-Web.pdf